Chapitre 8

Mamie Binocles partie 1 ch 8 

  • Rémy, mon pote, ça fait plaisir de te voir. J’ai pas réussi un instant à te joindre.
  • Me parle plus connard.
  • Hein ? Quoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ?
  • C’est ta faute, je redouble. Il y avait 65 places, et je suis à la 66ième!
  • Ben, désolé, enfin… Moi non plus j’avais pas envie de…
  • Allez, dégage, je veux plus voir ta gueule !
  • Du con, si tu redoubles, c’est ta faute, alors fais pas chier. Les rôles auraient été inversés ça ne t’aurais pas gêné du tout. Super l’amitié.
  • C’est ça, cause toujours.

 

Je connaissais assez bien Rémy. Il m’en voulait peut-être pour ça, c’est vrai, mais n’était pas aussi formaliste. Il y avait autre chose dont il n’avait visiblement pas envie de parler. Et s’il ne le faisait pas avec moi, il ne le ferait avec personne. Etait-ce si grave que ça ?

 

  • Salut Laurent. Félicitations…
  • Sandra ?
  • Appelle-moi Mamie Binocles, ça ferait trop suspect sinon. Ça te dit qu’on fête la rentrée ensemble ? Ça serait sympa, et je n’ai pas envie de la passer seule. Je ne suis plus dans le même studio, je t’ai écrit sur le papier où est le nouveau. A ce soir, 19h00, je t’attendrai.

 

J’avais trop envie d’y aller. Elle devait le savoir car elle n’avait pas attendu ma réponse, comme si ma venue était une évidence. Dès qu’elle s’était approchée de moi, j’ai eu cette pulsion, un besoin presque irrésistible de la prendre dans mes bras et de l’embrasser, oubliant tout ce qu’elle m’avait fait subir par vengeance, oubliant Fanny aussi. Je n’avais pas vu son déguisement, il était devenu invisible pour moi. Je ne voyais qu’elle, simplement elle.

 

  • Fanny ? … Oui, c’est moi ma puce. Heuuu, je suis un peu gêné de te demander ça, mais… Enfin, on s’est un peu retrouvé entre copains là et on aimerait passer cette soirée ensemble, juste entre nous, pour fêter un peu la rentrée… Non, juste nous, sans filles, en mecs quoi… Ça ne te dérange pas ? Vraiment ? … Promis, à la prochaine, tu viendras. Bon, je dois te laisser, on va bientôt entrer dans la salle… Moi aussi je t’aime… Oui, tu me manques… Bisous, à demain.

 

Et à 19 heures exactement j’étais en train de frapper à la porte de Sandra. Elle ouvrit, joliment maquillée, portant une nuisette en satin blanc, ses seins dansaient librement dessous. Elle me fit entrer, je la vis de dos, le tissu couvrait à peine ses fesses.

 

  • Bonsoir, ça sent bon.
  • Bonsoir.

 

Ça a été les seuls mots que nous ayons prononcés avant de s’embrasser fougueusement, avant que je la bloque contre le mur, lui malaxant fermement un sein, fouillant son entre-jambes toujours aussi lisse et déjà complètement humide. Elle s’est retournée et je l’ai baisée, bestialement, et elle aussi en avait terriblement envie.

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