Chapitre 12 - L’héritage d’Emilie

Pauline Année de Terminale - Chapitre 12 l'héritage d'Emilie

PLPP… « Pauline la pute parisienne » ou « Pauline la petite princesse » ? Je préfère la version de mon père, et de loin. Mais mon père n’est pas là pour le moment, j’enfile le truc d’Emilie qui sert de maillot de bain, sous le regard des autres filles. J’ajuste ces bouts de tissu pour cacher mes tétons, j’ajuste au niveau de mon entre-cuisses également.

Savent-elles qu’une d’entre elles pourrait être à ma place ? Réagirait-elle alors comme moi ? Et comment aurai-je réagi si cela n’avait pas été moi ? Aurai-je été compréhensive ? Aurai-je eu de la pitié ? Non, évidemment que non. J'aurais été une sale connasse qui lui aurait pourri la vie jusqu'à ce qu'elle se chie dessus. J’en suis convaincue.

Mais, elles ne font rien d’autre que me regarder. Je vois juste de l'amusement pour certaines, de l'incompréhension pour d'autres et de la peur pour les dernières. Finalement, je mérite peut-être ce qu'il m'arrive. Et puis, ce n'est pas si horrible pour le moment... à moins que je sois en train de perdre tout sens des réalités. Mes hormones embrouillent peut-être mon esprit.

Quoi qu'il en soit, je suis au bord de la piscine avec tout le monde. Je suis en chaleur, j’aime m'exhiber devant tous les élèves... le prof me détaille, je pense que ma tenue lui plait. Je sais qu'il va me baiser. Je me fiche de savoir qu'il va me donner cinq points de plus ou non... me faire baiser... j'en meure d'envie.

Le prof frappe deux fois dans les mains et annonce :

  • Bon, ceux qui ne se sont pas encore fait évaluer la semaine dernière se mettent en fil indienne derrière le second plongeoir. Pour les autres, la dernière ligne est libre pour que vous vous amusiez. Pauline, merci d'aller chercher le chronomètre que j'ai laissé sur le banc au fond.


J'ai déjà été évaluée, et je crois qu'il n'a pas envie que j'aille avec les autres attendre la fin du cours. Il me veut comme assistante. Cela me va. De toute façon je n'ai pas envie d'aller patauger dans l'eau bêtement. Je pars donc chercher son chronomètre. Est-ce pour mater mon cul au passage ? Aime-t-il ma façon de le faire onduler ? J'espère ne pas en faire de trop tout de même.

Puis, le prof me demande d'aller sur le muret en face du couloir de nage. Je dois tourner le dos, mettre mes jambes dans l'eau et garder les fesses apparentes. J'allonge mon torse sur le carrelage froid pour bien tenir, je ne comprends pas bien ce qu'il veut. Il explique :

  • Bien, vous nager jusqu’à Pauline. Au lieu de toucher le muret, vous devez taper une fesse. J'arrête le chrono lorsque je l'entends pousser un cri. Ne la ménagez pas, si je ne l’entends pas crier, le temps continuera à défiler, et ça jouera sur votre note. Vous avez bien compris ? Le chrono s'arrête aux cris, pas aux murmures, ni aux gémissements.


Me faire fesser par les autres élèves est certainement l'une des choses les plus humiliantes que le prof pouvait me faire. Je suis tétanisée, je n'ai aucune idée de ce que peuvent penser mes camarades de classe et s'ils vont vraiment suivre cette consigne. Peut-être n’oseront ils pas me faire mal... je pousserai alors un cri pour faire croire...

Le premier plongeon... le temps s'écoule, l'angoisse augmente de plus en plus. Je tremble, je l'entends arriver derrière moi. Et, je le sens juste à quelques centimètres... un garçon ? Une fille ? Je ne sais pas, mais je reçois une première claque sur la fesse droite. Je cris, je n'ai pas besoin de simuler. Le bruit de la main qui est rentrée en contact avec ma peau résonne dans toute la piscine. Et je commence à pleurer doucement, d'humiliation et de douleur. J'aimerais me frotter là où ça brûle, mais je n'ose pas bouger de peur que le prof n'apprécie pas. Et déjà, j'entends le second plongeon.

Je me prends une bonne dizaine de fessées, certaines moins fortes que la première, d'autres plus puissantes encore, et toutes sur la fesse droite. Tout le monde semble être passé, et je reste sans bouger à pleurer, fixant le sol.

Quelqu'un se met devant moi, je sais que c'est le prof. Il pose sa main sur mon front et pousse d'un coup en disant :

  • Ça calmera la douleur.


Je tombe dans l'eau froide, bêtement, m’enfonçant presque au fond. Le temps que je ressorte la tête pour respirer, il dit :

  • Allez, le cours est fini, tout le monde sort. Le dernier m'aide à ranger.


Le dernier... la dernière plutôt. Ou plus rapidement, il aurait pu dire « Pauline ». Je suis trop loin du bord alors que les autres sont presque tous dehors déjà, à se précipiter, pour ne pas être le dernier.

Je dois donc ranger, avec une fesse qui me brûle, qui est rouge écarlate, et il va me baiser. Même si c'est-ce que je désirais au début du cours, je n'en ai plus envie. Mais, je n’ai pas le choix, son regard vicieux se pose déjà sur moi.

Il me demande de l'attendre dans la remise. Je me dis qu'il se contentera peut-être d'une fellation. Alors, lorsqu'il rentre, je m'agenouille directement. Il me laisse baisser son maillot et prendre sa verge qui durcit rapidement. Il semble satisfait.


Pourtant, il m'arrête, et doucement, il me dit :

  • Relève toi... enlève ce truc...


Il prend le maillot et le détail, puis il le roule en boule, qui n'est pas bien grosse vu la quantité de matière qu'il y a. Il ajoute avec une voix très directive :

  • Ouvre la bouche !


Et il me met la boule dedans... je le regarde inquiète, je commence à avoir peur de ce qu'il va faire. Il me retourne et me force à poser les mains sur le coffre, mettant en l'air mon cul. J'essaie de me décontracter, mais j'ai du mal à respirer avec ce bâillon improvisé.

Il place son gland devant mon anus, je plisse les yeux. Il met ses mains sur mes hanches, je commence à mordre. Je sens qu'il va me faire mal, je sens qu'il veut me faire mal. Et il pousse d'un coup sec. Je souffre mal, mes cris sont étouffés mais s'entendent tout de même. Il continue à rentrer comme si de rien n'était. Et, une fois au plus profond, il s'arrête, reste sans bouger.

Mes larmes perlent sur le coffre, j'espère qu'il va bientôt se retirer. Mais, je reçois une énorme claque sur la fesse droite qui ravive le feu sur ma peau alors qu’il commençait à se calmer doucement. Et il se met à parler :

  • Le maillot te va mieux qu'à elle. Vous partagez d'autres choses aussi ? Elle aussi adorait la bite, une vraie salope. Mais je crois que tu la surclasses. Elle t'a dit qu'elle adorait que je la prenne comme toi en ce moment ?


L'esprit embrumé, je mets du temps à comprendre de qui il parle. Et pourtant, c’est évident... Emilie. Il a reconnu le maillot... quelle erreur... Est-ce pour cela qu'il est méchant ? Veut-il veut me faire comprendre que c'est lui qui commande ? A-t'il peur que je complote ?

Et il commence ses vas-et-viens. L’entrée de mon anus me pique un peu, mais c'est supportable... l’entrainement de Paul a peut-être été profitable. Je commence même à y éprouver du plaisir.

Il retire le bâillon après mes premiers gémissements et me demande

  • Tu aimes te faire enculer ?
  • … Oui, monsieur.
  • Branle-toi en même temps, mais ne jouis pas.

Je m’exécute. Il accélère le mouvement, mon orgasme est sur le point d’arriver. Je bloque ma masturbation, je suis au bord de l’orgasme et je me mords les lèvres pour me calmer. Je n’ose imaginer ce qu’il aurait fait si je m’étais laissée aller.

Il éjacule dans mon petit trou et se retire en disant :

  • Nettoie ma bite avec ta bouche.


Je n’hésite pas à le faire, je ne pense pas d’où sort sa verge. JE le suce de façon la plus naturelle possible… je ne me comprends vraiment pas. Drôle de goût, pas désagréable en même temps.

Et il me repousse. Je tombe assise sur les fesses cuisses écartées. La douleur reprend, mon anus me brule. Et il me dit en me donnant un petit coup de pied dans une jambe :

  • Je ne suis pas rancunier, je te mets un 18 pour le trimestre. Mais, fais bien attention pour les prochaines fois.


Je me relève péniblement, je n’ai plus beaucoup de forces. Je marche en canard jusqu'aux vestiaires, le sperme coulant de mon orifice me brûle l’entrée. Et la journée n’est pas finie.

 

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