Chapitre 15 - Jalousie

Pauline Année de Terminale

Les deux profs ne me laissent pas aller aux toilettes, rien que pour me nettoyer le visage. Ils veulent que je sorte tout de suite de l'établissement. Je traverse donc les couloirs presque entièrement nue, sentant le sperme me couler sur le visage. Il n'y a personne de toute façon... sauf le surveillant général qui est à la sortie. Je m'arrête dès que je le vois.

Il s'avance vers moi en prenant un air supérieur. Il ne dit rien, mais je sens la tension monter. Il tire sur mes affaires que je maintiens plaquées contre mon corps. Je cède et laisse tout tomber sur le sol. Il me demande sèchement :

  • Qui t'as fait ça ?
  • … Personne.
  • Tu t'es foutue du sperme sur le visage toute seule ? Te fous pas de moi. Qui ?
  • … Je ne le dirai pas. Faites ce que vous voulez, mais je ne dirai rien.
  • C'est bien de ne pas dénoncer. Mais, j'ai ma petite idée sur la question... Se sont de sacrés enfoirés tout de même. Ils ne m'ont même pas proposé de participer. Mais, je peux rattraper le coup, n'est-ce pas ?

 

Je n'ai plus trop envie de sexe. Ma masturbation a bien calmé mon excitation. Je ne suis pas enchantée de me faire prendre une nouvelle fois. Il voit mon hésitation, me pince un téton. Je lance un petit cri de surprise et de douleur, et en maintenant bien mon bout de chair entre ses doigts, il me dit :

  • Je ne pense pas que ton professeur principal serait content d'apprendre ton refus. Qu'en penses-tu ?
  • … Je ne pense pas non plus.
  • Alors ? Quelle est ta décision ?

 

Il la comprend lorsque je commence à ouvrir son pantalon. Il me plaque alors le visage contre le mur et se met derrière moi. Il est brutal, je suis convaincue qu’il va me faire mal. Et lorsqu'il se met à s'agiter derrière moi, je réalise qu'il est en moi. Je le sens à peine. Il s'excite comme un fou sans me faire le moindre effet. C'est tant mieux, c'est bien moins pénible à supporter.

Et il me dit :

  • Moi aussi, je vais t'arroser le visage.

 

Il sort de moi, je me retourne et me mets à genoux. Je comprends mieux ce manque de sensation, une bite fine et courte... Il a souvent dû se faire charrier par des femmes, et il l’a certainement mérité. Il se branle, et éjacule une quantité vraiment impressionnante de foutre. Je suis surprise, j'en ai une bonne partie du visage couvert.

Il ne me libère pas tout de suite cependant. Il sort son téléphone, lui aussi va me filmer :

  • Allez, fais-moi un petit show. Tu vas marcher le long du couloir jusqu'aux portes des toilettes et tu reviens. Fais bien ta star. Avance comme une pute.

 

Je commence, il m'arrête tout de suite en précisant que je dois mieux onduler du cul que ce que je fais. Alors, je me cambre, fais sortir mes fesses, gonfle ma poitrine, et avance en exagérant ma démarche. Je dois m'exhiber de toute façon, et vu ce qui m'est déjà arrivée, je ne suis plus à cela prêt. Il veut que je me comporte en allumeuse, alors je le fais.

J’arrive aux portes des toilettes. Je me retourne et repars dans l'autre sens. Son sperme me coule sur le visage, glisse le long de mon menton, souille ma gorge et continue à descendre sur ma poitrine. J'avance tout de même comme si de rien n'était. Je l'allume en fixant bien l'objectif, je passe mes mains dans mes cheveux, faisant remonter ma poitrine, je lèche langoureusement mes lèvres, récupérant au passage le sperme dessus.

Il apprécie, branle en même temps sa petite queue molle. Il veut absolument me montrer la vidéo. Je n'en ai aucune envie mais il ne me laisse pas le choix. E j'ai honte en découvrant à quel point je fais salope. J'ai l'impression d'être une actrice de porno, et c'est-ce qui lui plait.

Les deux profs passent et s'amusent en disant :

  • Ben alors, tu es toujours là ? Besoin de faire des heures d'étude ?

 

Et le surveillant qui leur fait :

  • Pas cool de ne pas m'avoir invité.
  • Tu auras bien d'autres occasions, ne t'inquiète pas.
  • J'espère bien.
  • Et je vois que tu t'amuses très bien sans nous. Allez, bonne soirée.

 

Ils partent, le surveillant me demande de recommencer comme juste avant, mais en marchant à quatre pattes cette fois. Timidement, je lui dis :

  • Je crois qu'il commence à se faire tard, et si je ne suis pas à la maison...
  • … Oui, tu as raison. Il faut pas éveiller les soupçons. Mais, avant de partir, tu vas une nouvelle fois me vider les couilles. Allez, à genoux et suce, salope !

 

Je m'exécute. Il me prend la tête et s'enfonce entièrement dans ma bouche. Il a peut-être une petite bite, mais elle va presque jusqu'à ma gorge. L’espace d’instant, j envie de vomir. Je me retiens, je déglutis et il se met à baiser ma bouche comme si je n’étais qu’un objet sexuel. Je serre les lèvres pour faire plus de pression sur sa queue, pour plus de sensations et qu'il se vide plus rapidement. Je n'ai pas l'impression que ce soit efficace.

Après plusieurs minutes, je lui demande de me laisser faire. Je malaxe ses bourses, je le masturbe de l'autre main, et joue de la langue sur son gland. C’est pour lui l'occasion de me filmer à nouveau. Il dit au passage :

  • Celle-là, c'est pour moi perso.

 

Sous-entendant qu'il va partager les autres ? Quelle bande de gros salauds tout de même.

Enfin, il éjacule, son sperme remplit ma bouche, il pousse un râle en disant :

  • Ahhh oui, salope, c'est bon. Avale bien, ne laisse pas une goûte.

 

Et quasiment tout de suite après, il me jette dehors et verrouille les portes derrière moi.

Je me retrouve ainsi quasiment nue dans la cours, il fait nuit, il n'y a personne, et un petit vent piquant me glace la peau. J'enfile directement mon manteau. Je regarde l'heure, j'ai loupé le dernier bus. Une petite heure à marcher à pied, sous ce froid, avec cette tenue et dans cet état ? Je ne le sens pas du tout. Mais, je me vois encore moins appeler mon père pour venir me chercher. Il me poserait bien trop de questions.

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