Chapitre 38 - Surprise inattendue

Pauline année de terminale excitee 

Je commence à me maquiller quelques stations avant l'arrivée. Je ne voulais pas qu'on me voit trop peinturlurée au cas où il y aurait du monde. Mais, nous ne sommes qu'une demi-douzaine. Je vérifie au passage que mon manteau cache bien ma tenue. Il descend jusqu'à mes bottes, personnes ne peut voir mes bas résilles, mon porte-jarretelles et mon soutien-gorge ouvert. Le seul vêtement supplémentaire que j'ai est un ras du cou.

Je descends du bus, la grille de la cours est ouverte. Je passe, vais d'un pas décidé au bâtiment où se situe la bibliothèque. La porte est fermée, je n'ai pas le temps d'essayer de l'ouvrir que quelqu'un de l'intérieur le fait. C’est le surveillant général. Il me fait signe de rentrer, me conduit jusqu'à la porte de la bibliothèque et me dit :

  • Ils t'attendent.
  • Il y a qui ?
  • Tu verras bien. Laisse ton manteau là.

Je l'ouvre, l'enlève et le pose sur le crochet qu'il m'a indiquée. Il me regarde de la tête aux pieds d'un air satisfait et me sort :

  • Ils vont être contents.
  • Vous ne venez pas ?
  • Non, j'ai des choses à faire. Amuse-toi bien.

J'ouvre la porte et entre. Je mets deux secondes à réaliser ce qu'il se passe. Entre temps, la porte s'est refermée derrière moi et a été verrouillée. Je ne peux plus sortir. Mon professeur principal n'est pas là, ni personne d'autre que je connais. Il y a là, quatre hommes qui sont en train de faire des travaux... Et un cinquième qui sort de derrière une étagère. La peur m'envahie, je suis tétanisée.

Ils me regardent, rient en parlant entre eux. Je ne comprends rien à ce qu'ils disent, ils ne sont pas français, certainement sont-ils d’un des pays de l’Est. Je mets mes bras devant la poitrine. L'un d'eux s'approche, prend un air rassurant, ça ne marche pas trop, et me parle doucement sans que je comprenne quoi que ce soit.

Il est grand et très baraqué, comme les quatre autres d'ailleurs. Il me prend la main et m'attire vers le milieu de la pièce. Je me laisse faire, je n'ai pas le choix. J'ai trop peur et mon corps doit leur renvoyer tous les signes comme quoi je suis excitée ; je me sens déjà mouiller.

Il me caresse doucement le visage, la gorge. Je baisse la tête, je ne veux pas qu'il croit que je suis consentante. Mais, avec un doigt sous mon menton, il m'oblige à le regarder, puis m'embrasse et rentre sa langue entre mes lèvres.

Une main se pose sur mes fesses, une autre s’ajoute à la première, et une suivante... je regarde, on me les pince, me les tapote, ils tâtent la marchandise. Ils font de même avec mes cuisses et ma poitrine. J’ai toujours très peur, mais l’excitation est bien là aussi. J’aimerai comprendre ce qu’ils disent. Je crois juste que je leur conviens. Et l’un d’eux me fait :

  • Toi, combien ?
  • Combien ?... Je ne comprends pas.
  • Euros, combien ?

Ils me prennent pour une pute, je n’en reviens pas et timidement, je réponds :

  • Rien… Zéro euros. Je ne suis pas une prostituée.
  • Toi, juste grosse coquine alors. Moi aimer.

Et l’un d’eux me soulève par derrière comme si je n’étais qu’une plume. Il me colle à lui et passe ses mains sous mes cuisses et écarte grandement mes jambes pour exposer mon intimité à la vue de tous. Par réflexe, je mets mes mains devant le pubis, on me les retire rapidement.

Et tout de suite, l’un se baisse et me passe un coup de langue sur ma chatte. Je laisse sortir un petit gémissement de surprise et de plaisir. Sa bouche se pose alors dessus et il commence à me lécher. Il ajoute un doigt dans mon vagin et le masturbe rapidement. Plus je gémis, plus les autres rient. Mon orgasme est déjà sur le point d’arriver, lié à mon manque sexuel de ces derniers temps. Mais, il arrête de me branler juste avant. Il pose son doigt à l’entrée de mon anus et me demande

  • Toi aimer par là ?
  • Oui...

Je n'attends que ça, qu'il entre. Et je souffle fort en même temps qu'il enfonce son gros index. Il dit quelque chose aux autres et ils se mettent à touche mon cul aussi. Le doigt d'un autre s'ajoute au premier. Et les deux s'amusent à tirer comme pour agrandir mon trou. Et un troisième doigt rejoint les deux premiers. Je sens ma peau tendue, mais je n'ai pas mal, je suis prête à subir tout ce qu’ils veulent me faire.

Je suis toujours tenue en l'air par le cinquième type, et mon corps sert de terrain de jeu aux quatre autres. Ils me pénètrent avec leurs doigts, me lèchent, et me font jouir une première fois. Mais, je suis loin d'être rassasiée. Et puis, ils commencent à baisser leur pantalon. Je découvre des sexes plutôt larges et de différentes tailles. J’en ai l’eau à la bouche.

Sans m'en rendre compte, je passe ma langue sur mes lèvres. Ce geste ne passe pas inaperçu, ils en rient, et je ris avec eux. Et on me repose au sol pour que je chevauche l'un d'eux qui vient de s'allonger. Rapidement, mes trois orifices sont pris et mes mains occupées à branler les deux verges libres.

Les positions s'enchainent, les expériences aussi. Je découvre avec plaisir les sensations d'une double pénétration vaginale. J'ai un orgasme fulgurant lorsque s'est ajoutée en plus une bite dans mon cul. J'ai un peu souffert lorsqu'ils ont tenté la double pénétration anale. Je les aurais laissés continuer s'ils avaient voulu, mais ils ont eu pitié de moi.

C'est toute essoufflée, après un temps incalculable, que je me mets à genoux, entourée par ces cinq amants, qui se branlent debout. J’attends ma récompense. J'ouvre la bouche, mais je sais que mon corps et mon visage seront également aspergés de leur sperme. Et pour les aider à conclure, je caresse devant eux ma poitrine et ma chatte, je me sens encore bien excitée.

 

 

 

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