Chapitre 4 - Bonne élève
Plus la fin du cours arrive, plus je stresse et plus je suis excitée. Tout le monde quitte la classe, je reste, comme demandé par le professeur. Il est assis sur un coin de son bureau, il me demande de m'approcher de lui. J'avance, hésitante, me place en face de lui. Il se lève et me dit, doucement, calmement :
- Tu es une jolie fille, tu dois le savoir. Mais, aujourd'hui, je me suis aperçu que tu es une vraie femme.
Il se déplace, me contourne, et se positionne derrière moi. Je sens son souffle dans ma nuque, je n'ose bouger, à nouveau des goûtes de mon liquide intime coule le long de mes cuisses.
Lorsqu'il pose ses mains sur mes haches, que son bassin se colle à mes fesses, je sens quelque chose de dur contre ma raie, sachant de quoi il s'agit, augmentant mes envies. Et je me demande quelle sera la réaction de mes copines de Paris lorsque je leur raconterai. En fait, il n'y aura aucune réaction... elles ne me parlent plus.
Au début, nous échangions tous les jours. Puis, cela s'est espacé. Il y a trois semaines, j'ai envoyé mon dernier message, sans aucune réponse de leur part. Elles veulent couper les ponts, je l'ai compris, mais n'ai pas voulu l'admettre jusqu’à maintenant. Je me rends compte que je suis seule, sans personne pour me soutenir ou me conseiller...
Les mains du professeur remontent le long de mes côtes et se placent juste en dessous de mes seins. Je respire fortement. Ces attouchements me dégoûtent autant qu'ils m'excitent. Je ne me suis jamais tapée un homme de cet âge, je n'y avais jamais pensé.
Il me glisse à l'oreille, en chuchotant, comme s'il s'agissait d'un secret.
- J'ai toujours été attiré par les jolies femmes coquines. Je pourrais t'aider à avoir un bon dossier pour te présenter à toutes les écoles que tu veux. Tu aimerais avoir un bon dossier, n'est-ce pas ?
- .. Monsieur, ça m'aidera sûrement.
- Je pourrais aussi te donner des conseils sur les autres profs, sur ceux avec qui tu pourrais jouer de tes charmes. Penses-tu que c'est une bonne chose ?
- .... Je ne sais pas... je vous fais confiance.
Ses mains redescendent, passent sous ma jupe et commencent à me caresser les fesses. Puis, l'une d'elle va sur l'avant, et se glisse sous ma jupe, entre mes cuisses, se met à me masturber. Les bruits de mouille me montent aux oreilles. Je suis plus que jamais honteuse qu'il remarque à quel point je suis excitée. Et il reprend :
- D'ici cinq minutes, la salle des profs sera vide. Tu vas venir avec moi. Tu vas faire tout ce que je te demande. On est bien d'accord ?
- … Oui, monsieur. Ça restera juste entre nous ?
- Tu connais monsieur Taral ?
- Mon professeur de sport ?
- Tu as cours avec lui demain, piscine je crois.
- Oui, exactement. Pourquoi ?
- Il saura tout de ce qu'il se passe en ce moment. Il risque d'être jaloux. Il m'a souvent parlé de toi et de tes formes... il fantasme sur toi comme un fou. Je suis content de profiter de ton corps avant lui. Mais, je lui renverrai la pareille. Soit très gentille avec lui... oublie ton maillot de bain demain.
- Quoi ? Comment ?
- Il ne saura pas que je t'ai prévenue. Je lui dirai juste que tu es une belle petite salope. Tu lui feras la surprise comme ça… tu t’inquiètes ? Il ne faut pas. Il a des maillots en réserve.
Je suis choquée et en même temps, j'ai aimé être insultée de la sorte. Je ne sais quoi répondre, je n'ai pas le temps. Il arrête ses attouchements et nous partons vers la salle des professeurs.
Comme prévu, il n'y a personne. Je ne comprends même pas pourquoi je suis là, pourquoi je ne me suis pas enfuie. Il s'assoit sur une table et me dit :
- Suce-moi. Dépêche-toi avant qu'on nous surprenne.
Je m’agenouille devant lui, totalement soumise. La seule chose que je peux dire à ce moment-là, c'est que cette situation me plaît énormément.
Je suce avec plaisir cette petite queue fine, peu appétissante. Mais, depuis le temps que j’ai envie d'une bite en moi, je ne vais pas jouer la difficile. Lui ne demande rien d'autre que cette pipe. En même temps, il n'a pas vraiment le temps, il est plutôt rapide. Je le sens arriver, je le retire de ma bouche, le branle énergiquement et il éjacule de grandes giclées sur mon cou. J’aurai pu jouer la dégoûtée, mais, au contraire, je pousse quelques gémissements de plaisir en sentant ce liquide chaud frapper ma peau. Je regrette juste qu’il ne m’ai pas prise dans ma chatte.
J’essuie tout ce sperme avec des mouchoirs en papier qui se trouvent dans une boîte juste à côté. Mais une partie coule entre mes seins, dans mon décolleté. Le professeur n’attend pas que je finisse et m’ordonne de quitter la pièce. Je vais sentir le sperme tout le reste de la journée. J’espère n’être que la seule à m’en rendre compte.
Paul voudrait qu'on bosse ensemble après les cours. Je refuse bien qu’il insiste lourdement. Je ne peux pas, j’ai besoin d'une bonne douche, et je ne veux pas qu’il se rende compte de quoi que ce soit. Vu comme il me hait, c’est certain qu’il raconterait tout à tout le monde. Il en est hors de question.
Je me dégoûte de ce que j’ai fait… sucer un prof… sucer un mec plus vieux que mon père. Et pourtant, je ne peux m'empêcher de me masturber sous l'eau en repensant à cette journée, ayant du mal à calmer cette excitation, rêvant qu’il me baise comme une folle dans cette salle des profs.
J’ai du mal à trouver le sommeil, seule dans mon lit. Je repense à cette journée. Je n’en suis pas fière du tout, je me déteste… je me masturbe pourtant encore, follement excitée et apeurée de la journée qui arrivera. Pourquoi dois-je oublier mon maillot ? S’il y en avait à prêter, quel en est l’intérêt ? Je me doute que quelque chose va se passer, mais n’ai aucune idée de quoi.