Chapitre 5 - Plongeon

Pauline Année de Terminale - Chapitre 5 Plongeon

J'ai obéis aux instructions données la veille. J'ai dis à Monsieur Taral que j'avais oublié mon maillot de bain. Il m'a regardée de haut en me disant « Je vais voir ce que j'ai pour toi ». J'attends devant les vestiaires qu'il revienne, pendant que les autres commencent à se changer.

Il n'a pas dû chercher bien longtemps, il approche déjà, je le vois tenir un bout de tissu blanc dans chaque main. Il me les donne, je n'en crois pas mes yeux.  Un mini-string et quelque chose qui ressemble à un bandeau à mettre autour de la poitrine. Il devait y avoir un lacet à serrer autour du cou, mais il avait été visiblement retiré. Perplexe, je lui dis :

  • Mais, je ne peux pas mettre ça.
  • C'est comme tu veux. Tu peux aussi te baigner en sous-vêtements ou nue. Ça ne me dérange pas. Je te préviens juste que je note aujourd'hui, plongeons, nages... c'est toi qui vois.
  • … Je vais avoir l'air de …
  • De ce que tu es. J'ai entendu parler de tes exploits d'hier. Arrête de jouer les saintes ni-touches, petite salope. Assez parlé, soit tu es prête dans cinq minutes, soit je te colle un zéro.

Monsieur Mathur n'avait pas menti, il lui en avait bien parlé. J'ai compris que je devais participer au cours, mon dossier scolaire en dépend. J'ai tout de même le choix entre mettre ces choses ou y aller avec mes sous-vêtements bien plus sages. Mais, je me vois mal poursuivre la journée sans eux car trop mouillés. J’ai opté ce matin pour une jupe une nouvelle fois, et ma poitrine nue sous mes vêtements seraient trop visible aux yeux de tous. J'avais déjà fait les frais la veille. Je décide donc d’enfiler ce maillot de bain.

Les filles ne m'ont pas vue me changer. Elles étaient déjà parties sous les douches le temps que je me déshabille. Je passe le bandeau, il est petit, couvre à peine ma poitrine. J'ajuste le mieux possible, mais mes tétons sont tout juste couverts, laissant à l’air libre une partie de mes aréoles.

Le string est pire. Le petit triangle devant couvre tout jute le bas de mon pubis. Je tente de le positionner pour en cacher d’avantage, mais la ficelle glisse entre mes lèvres intimes, en montrant finalement d’avantage. Une idée stupide me traverse alors l’esprit : c'est impossible d'avoir des poils pubiens avec ce genre de chose, ça dépasserait dans tous les sens.

Et je réalise que je vais devoir me montrer ainsi devant toute la classe. Je me mets à stresser, et mon corps se met à réagir comme la vieille. Mes seins se gonflent, mes tétons pointent. Mon vagin s'humidifie, mes lèvres s'ouvrent. Le string se faufile entre elles, je n'arrive pas à le mettre correctement en place. Et j'entends le prof rappeler les autres à l'ordre. Il m'avait dit cinq minutes sinon un zéro. Je sors précipitamment et rejoins ma classe au bord de la piscine.

Nombreux sont ceux qui me regardent bouche bée. J'avance timidement, je ne peux cacher à personne mon stress, mon angoisse. Tout le monde doit sentir que j'ai envie de fuir. Et le professeur me dit sèchement « vas prendre une douche avant ! ». Je m'exécute, je me dépêche, il me presse. Je me mouille, et reviens rapidement. Mais, en passant devant une vitre qui me reflète, je remarque que le haut est devenu totalement transparent. Je regarde le string, ce n'est pas mieux.

Les autres ne remarquent pas tout de suite, ils sont déjà en train de se faire noter sur le plongeon. Mais, je ne reste pas inaperçue bien longtemps. Personne ne dit rien, je sens pourtant leurs regards me peser lourdement. Je me sens de plus en plus mal, et, paradoxalement, de plus en plus excitée.

Le professeur me parle comme si de rien n'était. C'est à mon tour de passer. Je rate totalement mon plongeon, je n'ai pas l'esprit tranquille. Et le bandeau, en rentrant dans l'eau, s'est retrouvé à ma taille. Monsieur Taral m'incendie et exige que je recommence. Je remets le tissu en place avant de sortir de l'eau, comme si cela changerait quelque chose. Et je me remets en place. Mais, le professeur me demande d'attendre : il part chercher son téléphone portable.

Sans gêne, il dit :

  • Je te filme pour bien montrer à tout le monde ce qu'il ne faut pas faire. Et pendant qu'on y est, tu vas nager en brasse jusqu'au bout et revenir en dos crawlé. Ne t’arrête surtout pas.

Je me doute bien que la raison de me filmer est bien différent de ce qu’il annonce. Je n'ai cependant pas le choix, je n'arrive pas à réfléchir correctement, alors, j’obéis bêtement.

Mon plongeon est meilleur, mais comme la fois d'avant, le bandeau se retrouve autour de ma taille. Je ne m'arrête pas comme il l’a demandé. Je nage d’abord en brasse. Je touche le bord, me mets sur le dos, et repars dans l'autre sens.

Mes seins sont nus devant tout le monde. Les autres ont pu voir mon minou la veille, ils observent maintenant une autre partie de ma féminité. Mais, je continue tout de même. J'ai super honte, je suis à un niveau d'excitation extrême. Et le professeur marche sur le bord de la piscine, avance en même temps que moi avec son téléphone braqué en ma direction.

Enfin arrivée, je cache mon corps dans l'eau. Monsieur Taral me dit tout de suite :

  • Pas mal, mais laisse la place aux autres maintenant. Sors tout de suite de l’eau.

Je comprends bien qu'il ne me laisse pas le temps de couvrir ma poitrine. Je comprends bien qu’il veut que je m’exhibe. Mais j’obéis, et remets le bandeau en place une fois en dehors de l’eau, sous une bonne dizaine de pairs d’yeux.

Ma prestation est « suffisante ». Je ne vais pas avoir besoin de retourner dans la piscine jusqu’à la fin du cours. Je me protège, enveloppée dans ma serviette. Et je regarde mes camarades se faire noter.

Le cours se finit, tout le monde va prendre sa douche, sauf moi. Le professeur me demande de rester. Il attend que les autres soient suffisamment loin pour me dire :

  • Je te mets un zéro.
  • .... Mais... pourquoi ?
  • Tu n'étais pas prête à temps.
  • Ce n'est pas juste !
  • Tu trouves ?... Il y a peut-être moyen pour toi de gagner quelques points tout de même. Qu'en penses-tu ?
  • … Que dois-je faire ?

Il sourit en disant : « je vois que tu comprends ». Il me regarde de la tête aux pieds. Je baisse les yeux vers le sol, mais remarque qu’il commence à bander dans son boxer de bain. Et il reprend :

  • Déjà, tu vas me rendre le maillot. Ensuite, on ira dans un coin plus tranquille à l'abri des regards.

Je comprends bien ce qu'il me dit. Je retire ma serviette, je retire ces bouts de tissu. Il a un regard dominant et vicieux. Une fois toute nue, il m'entraîne dans une remise où se trouvent différents accessoires de piscine.

A peine sommes nous arrivés qu’il me fait me pencher, pauser mes mains sur un coffre pour que je tende mes fesses en arrière. Et dans la seconde suivante, il me pénètre. Je suis humiliée et dégoûtée de me faire prendre par ce sale type et de cette façon aussi directe, comme si je ne servais qu’à cela. Je reconnais cependant prendre enfin du plaisir à sentir une verge entrer en moi. Il me traite de petite chienne en manque... il a bien remarqué que je suis ouverte et trempée.

J'aimerai lui cacher que je prends du plaisir, mais je n'y arrive pas. Je gémis à chacun de ses coups de butoir. Il y va fortement, sans se soucier de ce que je ressens… ce que je ressens… un plaisir indéfinissable, une envie que cela ne s’arrête jamais. Puis, il sort et son gland se place à l'entrée de mon anus. Je lui dis alors, paniquée :

  • Non, s'il vous plait, pas par là.
  • … Vraiment ? Je sais que tu aimerais ça... ok pour cette fois. Mais, un jour, je t'enculerai et tu me supplieras de recommencer. Allez, salope, à genoux. Je veux vérifier par moi-même tes dons de suceuse.

Je n'ai jamais sucé après avoir été pénétrée. Ça me dégoûte un peu, lécher ma propre mouille. Je ne me vois pas non plus lui dire non une seconde fois. Je suis soumise et lui obéis. Je commence doucement, écœurée. Le goût est indéfinissable et je suis incapable de dire si j'aime ou non. Mais monsieur Taral s'impatiente et, tout en prenant ma tête avec ses mains, dit :

  • Bon, on ne va pas y passer la journée.

Il se met alors à baiser ma bouche. C'est désagréable, je ne suis pas du tout le rythme. Je me mets à saliver comme pas possible et ça commence à me couler le long du menton, sur ma poitrine. Il s'excite de plus en plus. Je le sens grossir, je sens qu'il va éjaculer. Mais c'est hors de question qu'il le fasse dans ma bouche. J'arrive à me dégager, à sortir son sexe d’entre mes dents. Pour éviter qu'il râle, je le prends tout de suite en main et le masturbe vigoureusement.

Les premiers jets de son liquide chaud me heurtent le visage et les cheveux. Je lève la tête, baisse sa queue. La suite de son éjaculation finit sur ma poitrine. Je me relève et il me donne une tape sur les fesses en me disant :

  • Va t'habiller. C'est l'heure de partir.
  • … Et ma note ?
  • Ho, mais t'es en faite une pute qui veut se faire payer... Je te donne 10 sur 20... Tu ne me remercie pas ? Ce n'est pas assez ?
  • Je pensais avoir plus tout de même.
  • .. Je te rajouterai cinq points si tu n'oublies pas ton maillot la semaine prochaine. Mais, attention à ce que tu mettras... Tu comprends, n'est-ce pas ?
  • … Oui, monsieur.
  • Bon, parfait. Ne perd pas de temps à prendre une douche. Et si malgré tout tu oublies ton maillot, tu nageras à poil.

Je retourne aux vestiaires en oubliant de récupérer ma serviette. Et même sans être couverte de sperme, tous les autres comprennent ce qu'il vient de se passer. J'ai honte, je ne dis rien, je fais profil bas. Personne ne me parle non plus.

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