Chapitre 18 : Dans l’antre du diable

img.20200404191848.534.jpg

 

Privée de tous mes poils, je me sentais encore bien plus nue. J’étais à genoux, les mains derrière la tête. Il avait posé sur le sol à ma gauche mes vêtements de vagabonde, et à ma droite sa ceinture. La punition était simple : soit je repartais, sois j’acceptais de nouveau être frappée et je pourrai alors manger. Il m’avait dit dix coups. Les autres que j’avais reçus m’avaient fait très mal, mais rien d’insurmontable. J’avais tellement faim…

 

J’eu l’impression qu’il m’avait fouettée bien plus fortement que la première fois. Mes fesses étaient peut-être plus sensibles aussi. Lorsque sa ceinture claqua sur ma peau pour la dixième fois, je souffrais vraiment. Mes yeux étaient en larmes, je ne contenais plus mes cris… Et un onzième…

  • Mais… Nous avions dit dix.
  • Dix par mensonge Tu n’avais pas compris ça ? Tu as menti sur ton nom et ton âge. Il en reste donc 9. Mais, tu peux toujours décider d’en rester là et partir d’ici.
  • … J’ai juste été surprise… Vous pouvez continuer.

 

Je n’avais pas subi tout ceci pour m’arrêter et abandonner maintenant. Je l’ai donc laissé continuer à me faire mal. Et enfin, c’était fini. Il jeta alors du poisson et du riz sur le parquet. Je l’ai regardé étonnée : « sans les mains ! Allez chienne, tu peux manger ». Sans les mains ? « Chienne » ?... Je n’en étais plus à une humiliation prête. J’avais l’impression que mes oreilles bourdonnaient… J’ai léché le sol jusqu’à ce qu’il ne reste plus le moindre grain de riz.

 

L’homme, toujours installé sur son canapé, me demanda

  • Tu en veux encore ?
  • Merci, j’en ai déjà beaucoup mangé. Ça va aller comme ça.
  • Bon, tu peux partir maintenant.
  • … Il pleut beaucoup dehors…
  • Je disais ça pour toi. Ton petit cul m’excite beaucoup et ta belle paire de nichon bien volumineuse me donne de sacrées envies.

 

Il baissa son pantalon et prit en main son sexe qu’il commença à masturber. Je n’avais plus faim, les picotements étaient terriblement là. Moi aussi, j’avais envie de me toucher, mais je n’osais pas. Cependant, mes yeux n’arrivaient pas à se détacher de cette main qui montait et descendait le long de sa verge.

  • Dis voir, le spectacle à l’air de te plaire. Tu veux me la toucher ?
  • … Je n’ai jamais fait ça.
  • Il faut bien commencer un jour. Approche.

 

Il me demanda de rester debout devant lui, jambes légèrement écartées, suffisamment penchée pour tenir sa verge. Il m’expliqua comment faire… C’était doux et chaud au touché… Vraiment agréable à tenir…

  • Est-ce que je fais ça bien ?
  • Vas moins vite, on a tout notre temps.
  • … Comme ça ?
  • Oui… Ça te plait, pas vrai ?
  • Non, pas besoin de répondre, ça se voit. Laisse-moi caresser tes seins.
  • Oui… Si vous voulez.

 

Il y allait doucement, j’aimais… J’aimais… J’aimais même lorsqu’il tirait un peu sur mes tétons. C‘était une sorte de massage qui me faisait du bien alors que ma poitrine trop gonflée avait commencé à me faire un peu mal.

 

Après plusieurs minutes, sans demander mon autorisation, il glissa une main entre mes jambes, sur mon minou. J’ai poussé un petit gémissement de surprise, puis d’autres de plaisir alors qu’il massait cette zone que je savais très humide.

  • Continue à me branler en même temps. Tu aimes, n’est-ce pas ?
  • Oui, Monsieur… Pourquoi vous arrêtez ?
  • Tu aimerais que je continue ?
  • C’est très agréable.
  • Aimerais-tu que je lèche ta petite chatte ?
  • Je ne sais pas… Ce n’est pas dégoûtant ?
  • Je jouerai avec ta chatte plus tard, si j’en ai encore envie. Maintenant, mets-toi à genoux, et emprisonne ma queue entre tes seins… Oui, comme ça. Fais des mouvements de vas-et-viens.

 

Puis, sans rien dire, il se leva, se masturba juste devant moi. Du liquide sortit de sa verge, frappa mon visage, tomba sur ma poitrine, mon corps. J’avais été étonnée sur le moment… Je comprenais ce que c’était. J’étais souillée, mais fière en même temps d’avoir su lui offrir un certain plaisir. Je savais que c’était du sperme et c’était loin d’être dégoutant.

 

Les picotements se calmèrent, sans que je fasse quoi que ce soit. J’ai eu l’impression d’entendre la voix de mon père lorsque je le surprenais dans des moments intimes avec ma mère, lui disant alors « je n’arrive à prendre du plaisir que si tu en as ». C’était peut-être la même chose pour moi.

 

Il m’offrit ensuite une nouvelle chance de partir de chez lui. J’aurais certainement dû. Mais, je sentais que cet homme était mauvais. Je n’imaginais pas encore ce qu’il pourrait me faire. Et si j’avais su, serais-je partie ? Je ne crois pas. Je suis morte le soir même où mon père a quitté cette terre, et c’était de ma faute. J’avais besoin de souffrir pour tenter de trouver quelque part un pardon. Alors, j’ai vendu ce qu’il restait de mon âme au diable, mon corps n’ayant plus d’importance.

 

Il m’a attachée à un radiateur durant la nuit. Il m’a nouée avec une corde pour que je ne tente pas de partir en le volant durant son sommeil. Je l’ai laissé faire, il a su me saucissonner de façon à ce que je ne puisse pas me défaire au cas où j’aurais voulu changer d’avis. Changer d’avis ? Je n’y ai même pas pensé.

 

Les premières minutes étaient très inconfortables. Plus elles passaient, plus la douleur s’amplifiait. Les cordes commençaient à me brûler la peau. Mon sang avait de plus en plus de mal à circuler. J’ai crié, j’ai supplié qu’il vienne me détacher. Mais, il n’entendait rien, il ne pouvait pas entendre avec ce bâillon qui étouffait le moindre son de ma voix. J’ai cru mourir dans cette souffrance qui a duré une éternité.

 

Et enfin, alors que le jour se levait tout juste, il est venu me libérer. Je lui en étais reconnaissante, sentiment étrange alors que j’aurais dû lui en valoir de m’avoir laissée autant de temps ainsi. Je sentais la moindre goutte de sang reparcourir mes veines dans une douleur atroce.  Et il me dit :

  • Je veux bien jouer les bons samaritains et t’héberger tant que tu me seras utile. Mais, ça ne sera pas gratuit.
  • Mais, je n’ai rien. Je n’ai pas d’argent.
  • Crois-tu vraiment que j’ai besoin de fric ? Tout m’appartient ici ! Je te laisse une toute dernière chance de partir, sinon, toi aussi tu m’appartiendras.
  • … Je… je préfère rester.

 

La seconde d’après, il m’attrapa par les hanches et me mit dans une position humiliante : à quatre pattes, les fesses à l’air. Et il me pénétra d’un coup, avec son sexe, déchirant mon hymen. Je me suis mordue les lèvres pour ne pas crier. Je me suis mise à pleurer à gros sanglots. Je n’avais jamais imaginé perdre ma virginité de cette façon.

 

Puis j’ai hurlé de douleur, juste après qu’il ne sorte de mon vagin, me sodomisant aussi brutalement qu’il m’avait prise juste avant. Et lui riait, m’insultait. Lorsqu’il en sortit, ça a été pour me mettre son sexe dans la bouche, m’attrapant en même temps un sein, le broyant entre ses doigts tout en m’ordonnant d’avaler tout ce qui allait en sortir. Je l’ai fait ; ce moment a été de loin le moins pire.

 

Et il m’a réattachée parce qu’il devait partir. Cette fois, seuls mes poignets étaient ligotés. Et j’ai attendu son retour, nue, assise sur son parquet pendant toute la journée, oubliant les souffrances de mon corps, reconnaissante d’avoir su faire oublier le temps de quelques minutes les souffrances de mon esprit. J’ai attendu son retour pour qu’il me fasse à nouveau mal, pour qu’il réussisse à nouveau à ce que je ne pense plus à mon père.

 

 

⮈  Chapitre 17 : La petite voleuse     — oooOOooo —     Chapitre 19 : Parce que je l’ai tué  ➲

Commentaires


Laissez un commentaire
  1. Histoires Erotiques  >>  
  2. Pauline - La trilogie  >>  
  3. Pauline - Années adultes  >>  
  4. Chapitre 18 : Dans l’antre du diable