Chapitre 14 : Annie
Pourvu qu’ils arrivent vite maintenant. Le temps passe et c’est bientôt l’heure de mon prochain cours. Je vais devoir prévenir le doyen que je vais l’annuler. Mais, il doit bien voir ma voiture sur le parking. Il sait que je suis là. Il va certainement débarquer ici pour que je lui explique. Et il va voir quoi ? Que je suis le cul tout nu.
Je me suis laissée trop allée. Mais c’était si excitant en même temps. Et puis, je pensais que je serais sauve grâce à mes deux élèves. Je n’ai pas hésité longtemps pour réduire en pièce mon pantalon. Mais, maintenant, je suis dans une sacrée merde.
Mais qu’est-ce qu’ils font ? Ils n’avaient qu’à prendre le premier truc qui leur passait sous la main, ça aurait été moins pire que la situation actuelle. Oh, une clé dans la porte. Les voilà enfin. Mes sauveurs. Houaaa, la robe. Elle lui va super bien. Mais, je serais incapable d’en porter une comme ça, pas en public en tout cas. Elle est vraiment très très sexy. Et là, à se tourner d’un coup pour embrasser Stanislas, j’ai même vu son pubis nu.
Il me donne un paquet en me disant :
- On a trouvé une jupe. Et votre carte bleue est dedans aussi.
- Super, merci beaucoup. Vous êtes vraiment des anges… heu… vous faites quoi là ?
- Désolé, mais on a une envie très pressante.
- Oui, je vois ça… ça ne peut pas attendre que je m’habille et que je quitte…
A quoi bon continuer de parler, ils ne m’écoutent déjà plus. Elle lui dévore carrément la bite, une vraie chienne en furie. Bon… c’est pas tout mais… je ne vais tout de même pas rester là à jouer les voyeuses non plus. Alors, ils m’ont trouvée quoi à mettre ? Oh, une jupe qui brille un peu. J’aime beaucoup. J’espère qu’elle est à ma taille.
Oh, elle se met déjà à quatre pattes… et lui… il enfile un préservatif… il la pénètre… Bon, faut que je mette cette jupe maintenant. Ils me déconcentrent beaucoup. Il y a un sens ? Oui, l’étiquette derrière… derrière… comme elle se fait prendre. J’espère que les locaux sont assez insonorisés tout de même. Elle gémit beaucoup. J’aimerais vraiment que Luc soit là, vraiment beaucoup.
Bon, alors, est-ce qu’elle me va ? Mmmmhhh, ça a l’air. Elle est tout de même assez moulante. C’est quelle taille ? 34. Effectivement, celle d’au-dessus aurait été mieux, je pense. Quoi que. Elle me va tout de même bien. Dommage que je n’ai pas de miroir pour me regarder.
Bon ben, je suis habillée. Je peux sortir. Oui… je peux sortir de mon bureau. Je peux aller voir s’il y a un truc à grignoter à la cafète. Je peux aller prendre l’air aussi. Finalement, j’ai un peu de temps avant mon prochain cours. Ou, je peux aussi rester. Ils ne sont gênés de copuler devant moi. Et je ne suis pas gênée de les regarder copuler.
Je m’assois sur mon fauteuil et je profite du spectacle. J’ai toujours aimé jouer les voyeuses à regarder les gens faire l’amour. Ado, je me cachais pour surprendre mes parents. Ils le faisaient de façon simple et calme, rien à avoir avec comment Luc me prend, mais c’était déjà bien excitant. Je crois bien que c’est la première fois que je peux observer sans me cacher. Je ne compte pas cette fois où ma grande cousine m’a découverte alors qu’elle était en plein ébat avec son petit copain, et un ami de celui-ci et un autre aussi.
En même temps, je n’avais pas été très maline à me cacher dans son placard. Mais le risque en valait la chandelle. J’avais commencé à tremper ma petite culotte juste en la voyant en embrasser un, puis un autre, et enfin le troisième, tout en se faisant peloter par toutes ses mains. Et les minutes d’après avaient été encore plus torrides. Mais, j’étais coincée, ne pouvant pas sortir sans être vue. J’avais pourtant la furieuse envie de fuir de là pour me faire jouir sans retenue, alors que j’avais de plus en plus de mal à m’empêcher de déclencher un orgasme avec ma main qui s’agitait sur ma minette.
L’heure de la délivrance allait enfin sonner. Les trois garçons ont quitté la chambre pour aller se doucher. Ma cousine devait aller les rejoindre. Elle restait encore un peu allongée à reprendre des forces avec son corps recouvert de sperme. Et enfin, elle se leva. Mais, au lieu de sortir de la chambre, elle a ouvert la porte du placard. Elle a été très surprise de me voir. Je n’en menais vraiment pas large. Je pouvais lui sortir toutes les excuses du monde, mais ça ne servait à rien. Bien que mes habits étaient en place, elle a bien vu ma culotte baissée jusqu’aux chevilles que je n’avais pas eu le temps de remettre.
J’aurais pu m’enfuir à ce moment-là. Mais, elle m’ordonna de rester et de lui donner mon sous-vêtement. Je me demandais ce qu’elle allait en faire. Elle s’est essuyée le corps avec puis l’a roulée en boule et me la mise dans la bouche. Je me suis sentie très humiliée à ce moment précis. Mais, l’excitation commençait à revenir en force. J’avais ce goût de sperme que je ne connaissais pas encore à cette époque, mélangé à celui de la cyprine de ma petite chatte.
J’avais alors le choix : soit faire tout ce qu’elle voulait de moi, soit subir sa méchanceté. Je ne sais pas ce que ça aurait été si j’avais pris la seconde possibilité. Je n’avais pas hésité sur la première. Et pendant les quinze jours suivants, j’ai été son jouet, son esclave. Elle m’appelait AnnieToy. Elle m’a fait lécher sa chatte, elle a été ma première et seule expérience lesbienne. Elle a été ma première expérience sexuelle tout court en fait. C’est son copain qui m’a dépucelée. J’ai encore la vidéo de ce moment qu’elle a alors filmé. La sextape n’est vraiment pas terrible tout de même. Avec Luc, on fait bien mieux. Je regrette cependant que nous nous soyons perdues de vue. J’aimais bien lorsqu’on faisait l’amour à trois. Ces vacances avaient été formidables et loin de celles de mes copines de l’époques qui n’avaient pas dépassé le stade du roulage de pelles.
Avec tout ça, je me sens encore très excitée. Je n’avais pas voulu me masturber devant eux tout à l’heure, mais, maintenant, je n’ai plus aucun état d’âme. J’ai un pied posé sur le bureau, l’autre sur le sol, les jambes les plus écartées que je puisse avoir. Et j’ai le visage de Christelle à quelques centimètres de moi. Elle me regarde avec un regard de pucelle surexcitée. A chaque coup de butoir que lui donne Stanislas la pousse à sortir un petit gémissement bien agréable. Ils ressemblent presque à ceux de ma cousine, de ce que je me souviens.
Elle est toute nue, le corps quasiment entièrement allongé sur la table, la bouche plus qu’entre-ouverte, de la salive coule sur son menton. Elle doit vraiment être au bord de l’orgasme, tout comme moi. Je commence à avoir mal à la main droite à force me tripoter. J’utilise la gauche. Elle m’attrape la première et elle se met à lécher mes doigts recouverts de cyprine. Je n’en peux plus, je me mets à jouir. Elle m’accompagne dans mon orgasme avec le sien. Et Stanislas ne tarde pas à en finir également.
Bien, voilà… c’est fait. Tout le monde est maintenant rhabillé. Personne ne dit rien. Il faudra que je pense à récupérer le préservatif dans la poubelle pour le jeter ailleurs. Si quelqu’un du ménage tombe dessus, je risque d’avoir des problèmes. Mais, c’est déjà l’heure de reprendre les cours.
Je ne sais pas pourquoi ils m’ont regardée comme ça en sortant du bureau. Certainement qu’il trouve que cette jupe est très belle sur moi. En tout cas, je me sens bien dedans.