Chapitre 20 : Annie

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A pêne ont-ils fermés la porte derrière eux, Stanislas ouvre la parole :

  • On peut vous expliquer. Nous ne savions vraiment pas lorsqu’on l’a achetée. On s’en est douté après, lorsque vous la portiez, mais on ne pensait pas du tout que ça serait autant.
  • Vous vous en doutiez ? Mais vous vouliez tout de même que je la porte aujourd’hui, sans rien dessous.
  • Heu… ben…
  • Je suis contente que vous vous soyez réconciliés. Vous formez un joli couple de sacrés coquins.
  • Heu… je… vous n’allez pas nous engueuler ?
  • Je m’en fous de la jupe. Je le savais déjà avant. Je m’en suis aperçue juste avant mon cours d’hier. Par contre, personne ne me l’a signalé.
  • Vous l’avez fait exprès ?

 

Je ne réponds pas. C’est évident. Ce n’est pas pour rien que j’ai fait appel à Luc hier, malgré mes nombreuses masturbations que je m’étais offertes. Je n’en pouvais plus tellement j’étais excitée. Tous ces regards sur moi sans oser me le dire, mais intenses, extrêmement motivants. Je suis d’ailleurs très motivée là, tout de suite.

 

Je regarde Oui-Oui dont j’adore sa tenue. Elle peut passer de très sexy à très provocant en trois coups de zip. Dommage qu’elle ait remonté ceux de son pantalon, ça lui donnait un joli côté grosse cochonne que j’aime bien voir chez elle. Je me demande comment ça rendrait sur moi. En tout cas, je la questionne, ayant été à la meilleure place pour me voir :

  • Est-ce que ça s’est vu ?
  • De quoi ? Le fait que vous n’ayez pas de culotte ? Ben oui, beaucoup même.
  • Non, pas de ce que je ne portais pas mais de ce que je portais.
  • Je ne vois pas là…

 

Je me retourne et plaque mon buste contre la table. Je relève ma jupe pour leur montrer mes fesses. Elle s’exclame avec un air enjoué :

  • Oh, j’ai le même.
  • C’est Luc qui m’a motivée à le porter.

 

C’est si excitant de m’exhiber ainsi devant eux deux. Je perds déjà le contrôle et glisse une main entre mes cuisses pour commencer à me masturber. Je sais que Stanislas a déjà vu mon petit plug anal finissant en forme de cœur rouge. Mais, il ne l’a jamais vu bien planté dans mon cul. Il dit : « vaut peut-être mieux que je verrouille la porte ». Je me redresse, je me ressaisis.

 

J’observe mes doigts déjà imbibés de cyprine. Je les lèche devant eux. Je les vois tous les deux passer leur langue sur leurs lèvres. Peut-être avaient-ils envie d’y goûter eux aussi. Tant pis, ça sera pour une prochaine fois.

 

Stanislas me demande, la bite bien dure et moulée dans son jeans :

  • On est là pourquoi en fait ?
  • Pour deux choses. La première, il faut me rendre le double des clés. Je suis désolée, mais la secrétaire a trouvé étrange que vous passiez si souvent hier. Elle risque de se douter de quelque chose, surtout si je ne suis pas ici.
  • Merde alors.
  • Mais, vous pourrez venir faire ce que vous avez à faire. Faudra juste me prévenir avant.

 

Et je serai présente. Et je compte même rester vous regarder. D’ailleurs… je suis certaine que vous avez envie. Mais bon… je ne voudrais tout de même pas les choquer en leur demandant de baiser devant moi, tout de suite. J’en meure d’envie pourtant. Je suis très voyeuse de nature. Et je découvre que maintenant que je commence à aimer l’exhibition.

 

Stanislas sort la clé de sa poche. Je m’approche pour le prendre. Je me retrouve entre les deux. Mes envies de les voir devient encore plus forte. Je prends la clé, il me demande :

  • Et pour la seconde chose ?
  • C’est bientôt l’anniversaire de Luc, et j’ai envie de lui offrir un truc très spécial.

 

Tout en disant cela, je prends la fermeture éclair de Oui-Oui, celle de son haut. Je la baisse doucement, elle me laisse faire et regarde juste ma main descendre jusqu’à arriver au plus bas. Un petit coup sec, et le haut s’ouvre, ses seins s’échappent comme des diablotins sortant de leur boîte. Elle lève la tête vers moi sans tenter de cacher sa poitrine, et elle me dit :

  • Si l’idée c’est un plan à trois avec moi, je ne suis pas super chaude pour le coup.

 

Mince, dommage. J’aurais bien aimé. J’étais même prête à casser mon principe de ne pas avoir de relation sexuelle avec un élève pour elle. Elle est mignonne et naturellement sexy. Quelque part, elle m’attire. Et Stanislas ajoute, comme si c’était nécessaire :

  • Ah ben non alors. Hors de question que mon frère couche avec ma petite copine. Ça serait trop glauque sinon.
  • Comment, réagit Oui-Oui ? Parce que c’est juste avec ton frère que ça te dérange ?
  • Heu, non, c’est pas ce que j’ai dit. J’ai pas envie que tu couches avec un autre mec, voilà… et qu’avec mon frère, ça serait encore pire.
  • Ah ben oui, tu préfèrerais que le plan à trois soit avec toi. Je sais bien que tu fantasmais énormément sur Annie, et peut-être que tu couches avec moi encore en pensant à elle.
  • Non, pas du tout.
  • Parce que tu vas me dire qu’elle ne te plait plus du tout ?

 

Il me regarde de la tête aux pieds, fixe lourdement ma poitrine contractée, aux pointes bien visibles. Et il reprend, tout en débandant :

  • Ben, si, je ne sais pas, mais la question ne se pose pas puisqu’on est ensemble.
  • Et donc, coucher avec Annie ne te plairait pas ?
  • Non… si… j’en sais rien en fait.
  • Et qu’on fasse des trucs ensemble non plus ?
  • J’en sais rien, Christelle, ne te fâche pas.
  • Et bien, j’ai envie d’avoir une réponse maintenant.

 

Elle m’attrape par la nuque, et tout en collant son buste contre le mien, elle glisse sa langue entre mes lèvres. Je suis surprise, ravie en même temps. Elle embrasse bien, très bien même. Notre baisé devient plus passionné, plus intime aussi. Je me sens décoller. Je n’ai pas envie qu’il s’arrête. J’ai l’impression qu’elle a envie qu’il continue également. Il commence à durer de plus en plus. Je recommence à perdre tout contrôle et ma main baisse la fermeture éclair de son pantalon et se faufile entre ses cuisses. Elle commence à onduler sous mes caresses, mais Stanislas vient nous arrêter… j’en avais oublié sa présence :

  • Heuuu, les filles… heu… c’est… ok, Christelle, j’ai la réponse.
  • Dis-moi.
  • J’aime bien.

 

Elle lui sourit et l’embrasse amoureusement. Je retire ma main et goûte à son jus déposé sur mes doigts. Et elle se retourne vers moi en me disant :

  • Mais pas de plan à trois avec Luc, par contre.
  • Je l’ai noté. Et pas de plan à trois avec Stanislas pour ma part.
  • C’est donnant donnant… dommage. Et c’est quand son anniversaire ?
  • Il le fête samedi.
  • Et tu sais quoi lui offrir du coup ? Heu… on peut se tutoyer ?
  • Oui, vu les circonstances, je crois qu’on peut. Sinon, non, aucune idée du coup.

 

Elle se tourne vers Stanislas et lui demande :

  • T’es invité ?
  • Oui. Je n’ai pas pensé à t’en parler en fait.
  • Et moi ?
  • Ben, évidemment que tu vas venir avec moi… tu veux venir ?
  • Ça me ferait plaisir. Et du coup, ça me donne une idée de cadeau que peut lui offrir Annie.
  • Hein ? C’est quoi ?
  • Nan, je ne dis rien. Tu auras aussi la surprise comme ça. Tu peux nous laisser ? On a besoin de parler entre filles.

 

Stanislas est tout surpris. Je le suis d’ailleurs. Elle semble du genre assez soumise, mais pourtant, elle prend facilement les devants. Mais, moi, même si je suis curieuse de connaitre l’idée de Oui-Oui, je reste tout de même sur ma faim. Je tente le coup :

  • Oui-Oui, tu veux le faire sortir dans son état ? Regarde, le pauvre, il a l’air d’avoir très envie là. Faudrait peut-être le calmer un peu avant.
  • … Tu veux qu’on baise devant toi ?
  • Disons que l’idée m’a peut-être traversée l’esprit un instant.
  • T’es une sacrée salope en fait.
  • Et ça pose un problème ?
  • Absolument pas.

 

Elle se défait de son haut, Stanislas se rue sur sa poitrine. Je m’installe confortablement dans mon fauteuil pour les observer. Je retire ma jupe, je pose mes pieds sur la table bien écartés l’un de l’autre. Je commence déjà à me masturber. Je sens que le spectacle va être grandiose.

 

 

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