Chapitre 21 : Stan
Cette semaine aurait pu être géniale si elle n’avait pas été si frustrante. Christelle est superbe, toujours avec des tenues sexy, belle, souriante, de bonne humeur, affectueuse, passionnée, tigresse parfois. Je ne comprenais pas l’intérêt d’un harnais. Mais, sur elle, avec son collier de chien et sa laisse, j’ai bien mieux compris. C’était méga excitant. J’espère bien qu’elle le portera à nouveau, mais elle a tellement de tenues à me montrer que je ne connais pas encore…
En plus, elle ne s’offusque pas lorsque je la traite de salope. Elle m’encourage même à l’insulter davantage. J’hésite encore à utiliser le mot « pute » ou un dérivé, à cause de ce qu’elle a fait avec ce prof, mais les deux trois fois où ça m’a échappé, elle semblait bien aimer. C’est tout de même un sujet qu’il faudra que j’aborde avec elle. Je ne sais pas encore quelles sont les limites que je ne dois pas franchir.
Mais, au niveau frustration, je suis servi. Elle ne veut rien me dire sur la surprise pour l’anniversaire de Luc. J’ai tenté de savoir par tous les moyens, et en plus, ça l’amuse de me voir chercher. Mais, rien, nada, que dalle. Elle sait cacher les secrets, c’est certain. Je me suis même rabattu sur Annie en lui laissant un message lui disant : « Dis-moi ce que vous préparez, sinon je ne te donne plus d’instructions ». Et en réponse, j’ai eu le droit à : « Je pense ne plus en avoir besoin ». J’aurais peut-être dû la menacer de ne plus baiser devant elle, ça aurait certainement mieux marché. Et, ouais, il semble qu’elle n’ait plus besoin que je lui dise quoi porter… sa tenue de jeudi a été une vraie surprise.
En fait, je me demande même si elle ne va pas finir par donner cours à poil. Elle s’est pris quelques réflexions tout même, mais sans se démonter, elle a répondu qu’elle allait voir son copain le soir même et qu’elle n’avait pas le temps de repasser par chez elle pour se changer. En tout cas, elle était bien bandante dans cette robe tube qui la moulait totalement, brillante en plus pour qu’on la remarque bien. Et même s’il n’y avait pas eu cette certaine transparence, on savait déjà qu’elle n’avait pas de sous-vêtements. Certains ont dû fantasmer durant la nuit suivante. En plus, elle passait son temps à remonter le haut pour ne pas finir les seins à l’air, et à baisser le bas pour ne pas finir le cul à découvert.
Je remonte dans la voiture où m’attend Christelle :
- C’est bon, ils sont bien installés à l’hôtel.
- C’est cool que tes parents laissent la maison pour l’anniversaire de Luc.
- Il a invité pas mal de monde. Ça aurait été trop rikiki dans son appart.
Est-ce que je dois lui dire ce que ma mère pense d’elle ? Je lui répondrai si elle me pose la question. En tout cas, elle l’aime bien. Mais, elle trouve qu’elle devrait se couvrir un peu plus tout de même. Elle me demande :
- Et du coup, on participe pas au préparatifs ?
- Nan. On va allait prendre du bon temps avant.
- Et tu m’amènes où ?
- Surprise.
- Non, sérieux, on va où ?
- Oh, c’est chiant de ne pas savoir, pas vrai ?
- Tu te venges parce que je ne veux pas te dire pour ce soir ?
- Possible.
- … T’es trop nul comme mec.
Tout en disant ça, elle ouvre mon pantalon et en sort directement ma bite. Elle se penche et commence à me sucer. Je lui demande :
- Tu fais quoi ?
- Je tente de te convaincre de me dire où on va.
- On pourrait nous voir.
- M’en fous.
- Ok… je t’amène au lac.
- On va se baigner ? Cool. Mais, faut repasser par chez moi prendre mon maillot.
- Pas besoin… j’ai fouillé dans tes affaires hier soir et je l’ai récupéré.
- Oh… t’es plein de surprises dis donc.
Finalement, j’aurais bien aimé qu’elle continue sa fellation. Mais, elle remet ma verge en place et referme mon pantalon pour se réinstaller bien droite sur le fauteuil. Je pose ma main sur sa cuisse. Je la remonte sous sa jupe. En fait, je n’ai même pas vu ce qu’elle porte aujourd’hui, en dessous du moins. Oh, elle n’a pas de culotte. Je m’en doutais. Elle n’en met pas souvent avec moi, sauf si c’est un truc méga-sexy. Elle me sort :
- Concentre-toi sur la route.
- Dis-moi…
- Non, tu ne sauras pas pour ce soir.
- C’est pas ça, mais, tu as été vague sur le sujet. Tu as aimé l’embrasser mardi ?
- C’était juste pour connaitre ta réaction.
- C’est ce que tu m’as dit. Mais, tu aurais pu arrêter et pas la laisser mettre la main dans le pantalon.
- … Elle embrasse bien.
- Donc, tu as aimé.
- Toi aussi, donc tout le monde est content.
- Ça à un rapport avec ce soir ? Vous allez faire un truc lesbien ?
- T’es chiant… ça dépend de ce que tu appelles lesbien. Si t’imagine léchage de chatte et tout, ben non.
- J’imagine rien.
J’imagine plein de trucs en fait. Est-ce que je vais aimer ? J’ai adoré voir les deux s’embrasser, mais je ne suis pas certain d’apprécier une surprise où elles font l’amour… surtout devant tout le monde. En fait, je préfère ne pas en savoir plus. Je me concentre sur la route, c’est mieux. Elle met la radio et chante sur les chansons. Finalement, elle n’a pas que des qualités… et en plus, elle ose dire que je chante faux. Pffff, bien mieux qu’elle en tout cas.
Nous nous approchons du lac. Elle me demande :
- Il est où mon maillot ? Vaut mieux que je l’enfile là plutôt que de me foutre à poile devant tout le monde.
- Dans le sac derrière.
Elle se penche, se contorsionne pour le récupérer. J’en profite pour lui donner une petite claque sur les fesses qui se découvrent avec sa jupe qui remonte trop haut. Elle reste en position. Je lui donne une seconde petite claque. Elle ne bouge toujours pas. Je pose ma main sur son cul et pénètre un doigt dans sa chatte. C’est fou comme elle a l’air de s’en foutre, ou de n’attendre que ça. Et comme si de rien n’était, elle me demande :
- Je ne le trouve pas.
- Ben si. Le maillot blanc une pièce.
Elle se remet en position et me le montre en me demandant :
- Tu parles de ça ?
- Ben oui.
- Ce n’est pas un maillot.
- Ah ?
- C’est un body.
- Ok… je me suis trompé. Mais, ça peut servir de maillot, non ?
Elle ne répond pas, mais me sourit avec un air coquin. Elle retire son haut, son soutien-gorge… ah, ce soutien-gorge. En fait, je ne sais même pas si on peut appeler ça un soutien-gorge. A part un machin en dessous qui maintient sa poitrine, il n’y a rien, il est tout ouvert. Bref, elle enfile son maillot ou body… je ne fais pas trop la différence en fait. J’ai vraiment cru que c’était un maillot. Elle retire sa jupe et accroche le bidule entre ses cuisses grâce à des boutons pression. Et elle me sort :
- Voilà, je suis prête. On évite les endroits avec familles et enfants.
- Pourquoi ?
Ok, c’est un chouilla transparent aux endroits où le tissu est le plus tiré : au niveau de ses bons gros seins que j’adore. Mais sinon… ahhh, elle me montre ses fesses. J’avais pas fait attention que ça fait string derrière. Ok, on va éviter les endroits avec familles et enfants… surtout pour ne pas choquer pendant que je vais bander dans mon maillot.
Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de monde. On traverse la plage pour aller plus loin. On arrive à un endroit un peu plus isolé. En tout cas, il n’y a pas d’enfants à cet endroit, c’est le principal. De toute façon, je ne pense pas qu’on va pouvoir trouver meilleure place.
J’installe les serviettes. Elle n’a pas encore retiré son tee-shirt et sa jupe que je vois bien qu’on la mate. Ça ne me gêne pas en soi. Mais, je n’ai pas envie qu’un gros lourd vienne nous emmerder. Et elle me demande, se dandinant pour faire tomber sa jupe :
- T’as pensé à la crème solaire ?
- Pour qui tu me prends, bébé. Evidemment.
- T’es trop génial. Tu m’en mets dans le dos ?
Elle s’allonge à plat ventre. Elle baisse le haut de son body jusque… très bas sur ses fesses. Ouaip, tout le monde, ça c’est ma gonzesse rien qu’à moi. Je ne vous en voudrai pas de bander parce qu’elle me fait le même effet. Mais moi, je peux me la taper.