Chapitre 31 : Annie

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Normalement tout est prêt. Il est encore trop tôt pour enfourner le rôti. Il faudra d’abord réchauffer les petits fours. Après le temps passé ensemble, la mère de Luc est toujours aussi froide et sarcastique avec moi. Elle ne m’aime vraiment pas, c’est sûr. Ah si, je vais lui demander si elle veut que je prépare une petite mayonnaise pour ceux qui aiment avec les patates sautées.

 

Elle est partie se préparer. Je monte, je frappe à la porte de la salle de bain. Pas de réponse. J’entre-ouvre la porte pour vérifier s’il n’y a personne. Oups… elle est sous la douche. Je ne devrais pas regarder, mais mon côté voyeuse reprend le dessus. Elle est encore bien faite pour son âge. Et ce que je vois est plutôt excitant : elle joue du bout d’un doigt sur son clitoris. Elle me donne envie de faire la même chose. Je ne devrais pas rester, ce n’est pas bien. Je devrais… oh, elle se met à jouir. Mmmhhhh, je me sens devenir toute humide.

 

Bon, je dois retourner à la cuisine… elle prend un rasoir, et caresse ses poils pubiens. Bon, je file pour de vrai cette fois. J’en profite pour aller dans la chambre de Stanislas et voir comment va Oui-Oui. Oh ben non, pareil, je n’aurais pas dû ouvrir la porte. Elle semble dormir, mais sa jupe est remontée, et elle aussi se touche. Et elle s’arrête d’un coup, mets ses bras en croix, ses jambes restent écartées. Elle respire fortement. Je demande :

  • Oui-Oui, tu dors ?

 

Aucune réponse. Oui, elle dort. Je redescends. Les garçons jouent au foot avec leur père dans le jardin. Bon ben, je vais aller faire cette mayonnaise, ça va m’occuper un peu. Les hommes arrivent, en sueur, assoiffés. Stanislas me demande :

  • Elle est où Christelle ?
  • Dans ta chambre. Elle se repose.
  • Ok. Faut de toute façon que je me change.

 

Le père de Luc est appelé par sa femme. Je me demande si ce n’est pas pour lui montrer son minou tout lisse. Et je reste seule avec Luc. Il me dit :

  • Bon ben, finalement, ça se passe bien avec ma mère.
  • Ça aurait pu être pire.
  • Faut que je te prévienne : avec Stan, on a pas trouvé le camescope. Je ne sais pas si c’est pas un pote qui est parti avec hier.
  • Peut-être dans la chambre de tes parents.
  • Pourquoi il serait dans leur chambre ?
  • Je dis ça comme ça. Tu as regardé ?
  • Ben non.

 

Oui, pourquoi il serait dans leur chambre ? Et à quel endroit ils ont regardé la vidéo ? Et qu’ont-ils fait en regardant cette vidéo ? Je peux avoir l’esprit mal tourné, mais cela reste suspect tout de même. En tout cas, Luc n’est clairement pas au courant que ses parents ont vu le petit spectacle entre Oui-Oui et moi.

 

Il s’approche de moi, il se colle à moi. Je le repousse :

  • T’es tout en sueur et tu pues.
  • Tu aimes ça d’habitude.
  • Arrête, on peut nous surprendre. Va te prendre une douche, ok ?
  • T’es pas drôle. C’est quoi ça ?

 

Oh mince, la tenue de serveuse de sa mère est restée dans un coin du plan de travail. Luc la prend, la regarde avec un grand sourire. Et il me fait :

  • C’est pour me faire une autre surprise ?
  • Ce n’est pas à moi.
  • Mais bien sûr. Je te crois. Vas-y, mets là. Je veux voir.
  • Luc… il y a tout le monde qui est dans les parages, c’est pas sérieux.
  • C’est l’affaire d’une minute, juste pour voir. Et, je te rappelle que j’ai gagné le pari.
  • Quel pari ?
  • Fais pas celle qui ne sait pas : tu es mon esclave pendant une semaine. Esclave, je t’ordonne de me montrer.

 

J’avoue que j’en crève d’envie. Christelle était vraiment très excitante lorsqu’elle la portait. Mais, je ne tiens pas à ce que sa mère me découvre dedans. Elle ne m’aime déjà pas, semble tout de même me tolérer. Je ne souhaite cependant pas à ce que son opinion sur moi dégringole plus. Mais, Luc insiste tant.

 

Je me laisse tenter. En plus, il y a de fortes chances que ses parents soient en train de faire des cochonneries. Pour Stanislas et Oui-Oui, je me fiche qu’ils me découvrent ainsi. Je me déshabille, je me mets toutes nue. Luc me fixe avec son regard de prédateur qui me plait tant. J’enfile d’abord les chaussettes, puis la jupe qui m’oblige à jouer des hanches pour la faire passer, mais ne me serre pas trop le ventre, et enfin le tee-shirt. Oh ben, même sur moi il ne cache pas entièrement la poitrine. Mais la couvre tout de même plus que celle de Oui-Oui.

 

Je tente de jauger la jupe. C’est dommage qu’il n’y ait pas de miroir. La tenue plait beaucoup à Luc : il n’a pas besoin de le dire, ça se lit dans ses yeux. Je prends mon téléphone pour voir comment le bas rend : elle osait vraiment servir ainsi ? C’est très provocant. La moitié de mes fesses est à découvert. Je demande tout de même à Luc :

  • Debout, on voit ma chatte ?
  • Non, mais ce n’est pas loin.
  • Et assis ?
  • Attends… ouais, un peu. J’aime bien les fentes sur les côtés. Mais, t’es sûr qu’elles ne se mettent pas autrement ?
  • Coquin.
  • Allez, ma salope d’amour, fais voir.

 

Je me laisse emporter par le jeu. Je tourne la jupe. Il aime beaucoup. J’écarte même les pans pour qu’il puisse bien voir ma minette que je sais humide. Et je sursaute en entendant « heum heum » venant de la fenêtre. Ma poitrine s’élève et retombe, se libérant totalement du tee-shirt. C’est le père de Luc qui regarde ailleurs et qui dit en tendant une prise :

  • Je n’ai rien vu… Fiston, peux-tu brancher la rallonge ? Je vais donner un coup de souffleuse sur la terrasse pour enlever les feuilles mortes.

 

Je remets en place tee-shirt et jupe, prête à me changer dès que j’en aurais l’occasion. Mais, c’est la mère qui fait irruption dans la cuisine maintenant. Elle me dévisage, je me sens rougir, je n’arrive à rien dire. A son regard, elle me méprise au plus haut point. Luc tente un :

  • C’était juste un petit délire, rien de méchant.
  • C’est bon Luc, n’en rajoute pas. Annie, faites donc moi plaisir de rester ainsi durant le reste de cette journée. Ces vêtements correspondent exactement aux tâches que je voulais vous assigner.
  • Maman, attends, elle ne peut pas…
  • Je ne t’ai pas sonné, Luc. Et ne me dis pas que tu n’apprécies pas ton amie ainsi.
  • Oui… Si, mais…
  • Va aider ton père, s’il te plait. Tu ne peux pas comprendre.

 

Il part. Elle ramasse ma robe sur le sol et mon soutien-gorge. Elle regarde encore et me demande :

  • Comme Christelle ? Pas de culotte ou de string ?
  • … Pas aujourd’hui, madame.

 

Et elle se met à rire. Je suis décontenancée. Et elle me précise :

  • Je me suis imaginée vous en train d’enseigner ainsi habillée. Ce serait… bref. Pouvez-vous apporter le plateau sur la table basse de la terrasse ?
  • Madame, sans vouloir vous manquer de respect, pensez-vous pas que je ne me suis pas suffisamment humiliée devant vous ?
  • De l’humiliation ? Oui, il y en a. Mais pas seulement, pas vrai ? Vous avez envie de vous exhiber, mais n’osez pas sans qu’on vous pousse. Je me trompe ?
  • … Non… je ne sais pas… peut-être que vous avez un peu raison.
  • Je commence à bien vous aimer, Annie. Alors, soyez le jolie petite serveuse coquine et sexy au corps de rêve que vous êtes, juste pour me faire plaisir.
  • D’accord, madame.

 

Je suis toute chamboulée. Je fais aujourd’hui la connaissance de mes beaux-parents pour de vrai, et je vais m’exhiber devant eux pendant des heures. Et franchement, j’en suis super excitée. J’attrape le plateau, je commence à l’amener vers la terrasse. Elle m’ouvre la porte de la cuisine, et m’arrête en me mettant une main sur l’épaule :

  • Annie… cela fait des années que je me suis oubliée. En fait, depuis que mes fils ont commencé à être assez grand pour comprendre certaines choses. Je pensais que je pourrais m’en passer. Mais, je découvre en vous voyant que j’ai envie de redevenir celle que j’étais. Je vous remercie pour cette révélation.
  • Oh ben, c’est avec plaisir.
  • Ne le dites pas à Christelle, mais vous êtes ma préférée des deux.

 

Je souris. Je suis toute fière. Je passe devant la fayotte dans le cœur de la mère de nos copains respectifs. Et je sens une claque sur ma fesse gauche. Je me retourne vers elle. Elle sourit en me disant :

  • Désolée, mais c’est trop tentant. Bon, je vais aller réveiller Christelle. Nous allons bientôt commencer l’apéritif. Vous avez pensé à faire réchauffer les petits fours ?
  • Ah… non.
  • Allons, Annie, il faut vous bouger un peu plus.

 

Ce n’est pas méchant. En fait, elle est dure avec moi, mais ce n’est pas méchant. Je pose le plateau sur la table basse, obligée de me baisser pour cela. Je me retourne, et découvre le regard du père de Luc bien rivé sur mon cul. Il fait mine de rien. Ça me plait… merde, je sens que ça coule entre mes cuisses.

 

 

 

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